jeudi 26 octobre 2017

L'huile de krill 60 ml

- Huile nourrissante et adoucissante, pour la peau et fortifiante pour les cheveux.

- L'huile de krill prévient le déssêchement de l'épiderme, cheveux, ongles et protège contre les agressions extérieures.

Conditionnement de l'huile de krill

flacon de 60 ml.
- Bain d'huile pour la beauté et la santé de vos cheveux.

- Quelques gouttes d'huile de krill dans le bain,  procurent de belles sensation ; elle hydrate et assouplit les peaux sèches et fatiguées.

- Revitalise l'épiderme.


Pour finir le gommage au savon noir il est important de restaurer rapidement le film hydrolipidique. Pour cela utilisez un produit de beauté réparateur et régénérateur comme de l'huile d'argan



vendredi 8 septembre 2017

Des arbres et des végétaux pour le Climat

Voici une courte vidéo pour inciter les villes et aménageurs à planter des arbres et des végétaux, ce sont des alliés de poids et de beauté dans la bataille climatique.
A diffuser autour de vous, dans vos mairies et auprès des aménageurs.

vendredi 7 juillet 2017

Photovoltaïque sur les flots


Énergie renouvelable. Après le bateau solaire , alors qu’une grande partie des professionnels de la filière photovoltaïque française se noie sous les récentes contraintes tarifaires mises en place par notre administration, la commune de Piolenc (84) a décidé d’innover en installant sur un lac de carrière en fin d’exploitation une centrale solaire flottante.

Une entreprise spécialisée dans la conception de grandes installations solaires, a d’ores et déjà mis à flot le prototype de 150 m2. Une première européenne prometteuse qui permettrait de réhabiliter d’anciens sites industriels et de mettre à profit des bassins de rétention d’irrigation ou encore des bassins industriels pollués ou des retenues de barrage.

Piolenc devrait dans quelques mois (une fois les appels d’offres du gouvernement lancés et validés) voir flotter 21 ha de modules d’une capacité de production de 16 000 MWh, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 5 700 foyers.

Une nouvelle qui donne envie de chanter, non ? 

« Il était un petit navire, il était un petit navire, qui n’avait ja-ja-jamais navigué, mais qui produisait-sait de l’électricité, ohé ohé… »

vendredi 14 avril 2017

Le bateau solaire


Le bateau peut naviguer trois/quatre heures par jour pendant six jours et peut fonctionner avec un faible ensoleillement.



Après plusieurs années de galère, cette ancienne infirmière psychiatrique passionnée de nautisme est allée au bout de son objectif : visiter le Canal du Midi sur une péniche accessible aux handicapés et fonctionnant uniquement avec l’énergie solaire. Avec ce bateau propre, autonome et silencieux, elle montre la voie du tourisme nautique de demain. 
Interview (reprise d'une gazette)

Comment vous est venue l’idée de créer un bateau fonctionnant à l’énergie solaire et accessible aux handicapés ?
En tant qu’ancienne infirmière psychiatrique, j’ai toujours été sensible aux difficultés rencontrées par les gens. Avec le Soleil d’Oc, je voulais permettre à des personnes handicapées ou à mobilité réduite de se déplacer et de voyager comme tout le monde. Après 21 ans passées à naviguer, je me suis rendue compte que la loi sur l’eau n’était pas respectée. J’ai été écœurée par la pollution – tant biologique que sonore – qu’engendraient les péniches classiques. Je voulais donc mettre en place quelque chose de très propre j’ai commencé à m’interroger sur la possibilité d’un moteur électro-solaire. Jusqu’alors, les bateaux-hôtels de croisières étaient uniquement propulsés par des moteurs diesel. M. D. a travaillé pendant plusieurs mois pour concrétiser sa théorie et démontrer qu’une péniche de plusieurs mètres pouvait être propulsée avec des moteurs de faible puissance alimentés par ses panneaux solaires. Et aujourd’hui, je peux le dire haut et fort : le bateau solaire, ça marche !

Justement, quelle est son autonomie ?

Le soleil d’Oc a été inauguré le 20 mars dernier. Comment le public l’a-t-il accueilli ?
Autant les gens nous prenaient pour des fous en 2006, autant là, ils nous applaudissent. Ils louent le silence du moteur et le fait d’avoir une péniche de croisière qui utilise uniquement une énergie propre et renouvelable. Ceux qui ont pu monter dessus pendant quelques jours le considère comme une vraie révolution technique et technologique. Cependant, de nombreuses personnes qui voient le bateau passer ont du mal à imaginer que celui-ci fonctionne uniquement grâce au soleil. La plupart doutent de la véracité du « 100% solaire ». Ils sont déconcertants d’innocence ! (elle rit) 
 
En à peine deux mois, vous avez réussi à prouver qu’un bateau entièrement écologique et accessible aux handicapés pouvait intéresser le public. Pensez-vous que votre activité puisse durer dans le temps ?
Je l’espère ! Pour le moment, nous devons d’abord assurer notre avenir financier à court terme. Nous cherchons actuellement des partenaires pour nous soutenir et nous permettre de continuer l’activité en 2009. Nous avons le prêt à rembourser à la banque et notre carnet de réservation n’est pas encore rempli pour l’année 2008. Mais j’y crois. Tous les jours, il y a de bonnes nouvelles qui arrivent. Des journalistes nous contactent régulièrement, et nous avons été nominés aux Trophées du Tourisme Responsable [NDLR : catégorie « Transporteur Responsable »]. En attendant le jury final, je croise les doigts.

jeudi 2 février 2017

Hi-tech et écologie 2

Le site, qui pour l’instant n’existe qu’en anglais, est un peu à l’image de GreenMy Apple, vainqueur des Webby awards 2007 dans la catégorie des sites militants. Green My Apple avait été conçu pour les amoureux de leur mac. “On voulait que les utilisateurs eux-mêmes puissent s’adresser directement à Steve Jobs pour le faire sortir du bois”. En mai 2007, le patron d’Apple annonçait un changement de politique, qui, s’il est plus remarquable par l’intention que par la pratique, a démontré l’efficacité de l’action.

“Notre politique n’est pas de plomber les produits. C’est un levier de pression pour les entreprises parce que nous faisons jouer la concurrence sur leur image de marque”, explique Yannick Vicaire. Les critères de classement sont la transparence sur les informations données aux consommateurs, leurs innovations pour améliorer la qualité environnementale des produits , et leur bonne foi.

Il y a des avancées, depuis un an et demi que le guide existe. Les entreprises se mettent à innover et concevoir des produits verts. Apple, Panasonic, Samsung, Sharp, Sony et Toshiba ont tour à tour signalé la fabrication récente de PC, d’écrans LCD, de caméras et appareils numériques sans PVC et/ou de RFB. Nokia a mis au point un téléphone portable en matériaux à 50% recyclables.

Mais le marché de l’électronique est complexe et pas encore structuré. “Pour notre étude, nous avons démonté 18 ordinateurs portables, et dans chacun, il y avait du bon et du mauvais. On aurait pu faire un puzzle et obtenir un ordinateur performant.”

Le but est d’arriver à ce que les entreprises aient toutes le même cahier des charges sur la politique de recyclage des produits et l’abandon de matériaux toxiques, comme le PVC et les retardateurs de flamme bromés (RFB) et qu’elles soient forcées de l’imposer à tous leurs sous-traitants, puisque ce sont eux, qui fabriquent les composants.

samedi 24 décembre 2016

Hi-tech et écologie: le clash des consoles

Pour Noël, Greenpeace offre un nouveau site, Clash of the Consoles. Mario Bross, Kratos et Master Chief, héros de Nintendo, Sony et Microsoft, y luttent pour “un futur libéré des produits toxiques”. On peut surtout y comparer la performance environnementale des trois consoles les plus célèbres du moment : la Wii, la PS3, et la Xbox.


L’idée de Greenpeace n’est pas d’inciter au boycott des consoles de jeu - ça tombe bien, les arguments écologiques ne sont pas de taille à freiner l’engouement des consommateurs - mais “de sensibiliser le public des joueurs, dont la conscience environnementale n’est pas très développée”, souligne Yannick Vicaire, responsable des campagnes “Toxiques” à Greenpeace International.
Dans son guide de la High-tech responsable publié il y a quelques semaines, Greenpeace inclue pour la première fois les fabricants de téléviseurs et de consoles de jeux. Avec une croissance annuelle de 14,9 %, c’est l’un des secteurs de l’industrie électronique en plein boom.

Nintendo, fabricant de la Wii, est dernier du classement, parce qu’il n’a fourni aucun renseignement sur sa politique environnementale. Le zéro attribué par Greenpeace n’a pas manqué d’énerver quelques fans de la Wii, qui s’expriment sur le blog Toxique de Greenpeace. “J’imagine que c’est une stratégie de Nintendo pour éviter une trop importante rupture de stock de Wii et de DS pour Noël…”, peut-on ainsi lire.
La Wii consomme dix fois moins d’énergie que la PS3 ou la XBox, ce qui ne devrait pas valoir à Nintendo un si mauvais classement, selon eux. Mais Greenpeace rappelle qu’elle classe l’entreprise Nintendo et non pas sa console.

Avec le “Clash of the consoles”, Greenpeace en remet une petite couche, version plus ludique. Mais il y a du boulot pour convertir les gamers à l’écologie, si l’on en juge par les commentaires laissés derrière la vidéo publiée sur Youtube.

jeudi 10 novembre 2016

Connaissez-vous le thiou sénégalais ?

Lors d’un séjour au Sénégal, on se laisse facilement séduire par chacune des facettes du pays : ses plages de rêves à Cap Skirring, un magnifique paysage fait de baobabs et de filaos dans le parcnational de Basse-Casamance, ses grandes villes comme Dakar avec leurs musées et leurs marchés. Sur la Terre de la Teranga, les vacances permettent aussi de découvrir une culture authentique à travers la gastronomie et les plats comme le thiou. La variété de la cuisine sénégalaise rend bien compte de la richesse culturelle du pays. Cette culture gastronomique, en plus d’offrir de nouvelles expériences gustatives, permet aussi de découvrir la coutume locale, la cuisine étant associée à un certain mode de vie, une certaine convivialité. En effet, au Sénégal, pas de couvert par tête mais un seul plat pour les hôtes et les invités.

Le thiou : un pot au feu façon sénégalaise

Des vacances au Sénégal promettent un dépaysement total, pour tous les sens, même pour les papilles. Pour la cuisine, particulièrement pour le thiou, même si les ingrédients utilisés sont familiers, le goût est tout autre. Le thiou fait partie des nombreux plats populaires sénégalais, au même titre que le mbakhal ou le mbakhalou diola. Le thiou est une sorte de pot au feu, fait à base de légume et de viande. Le plat se décline néanmoins en plusieurs versions en fonction de la base choisie : viande, poulet ou poisson. Le reste des ingrédients resteront les mêmes : tomates, pommes de terre, carotte, oignon, chou, navet, patate douce. Quelques condiments signent le goût de ce plat typique du Sénégal : thym, poivre noir, piment, ail, sans oublier un releveur de goût, de type maggi cube qui est largement utilisé au pays.

Le thiou sénégalais : une explosion de saveurs

Le nombre d’ingrédients qui compose ce plat semble exagéré mais c’est ce qui fait la particularité de ce met et de la cuisine sénégalaise aussi d’ailleurs. Pour sa part, le thiou est une véritable explosion de saveur. Le secret de la recette ? Les étapes de cuisson. En effet, pour concocter le thiou, on commence par faire dorer la viande à l’huile bien chaude avant de la déglacer et de la laisser mijoter dans du bouillon. Cette étape est cruciale. C’est la base même de la recette. Les légumes sont ensuite ajoutés au fur et à mesure. Au final, ou bout d’une longue cuisson, on obtient un met plutôt léger mais très riche en saveurs, mais équilibré au niveau du goût. Le thiou, comme de nombreux plats au Sénégal, se déguste avec du riz blanc, préalablement cuit, et réservé bien au chaud.